Maniema : la société civile de Kibombo exige la protection des ESU : les Directeurs Généraux pointés du doigt.
A Kibombo, la Société civile monte au créneau pour exiger la protection des institutions de l’enseignement supérieur et universitaire dans cette partie de la province du Maniema.
Dans une correspondance adressée au Président du Conseil d’Administration – ISTAT, le 13 septembre 202 et dont une copie est parvenue à Kinduinfo.net, le président de cette structure citoyenne alerte sur le fait que les trois établissements d’enseignements supérieurs et universitaires de Kibombo risquent leur fermeture.
La société civile section de Kibombo, dans des révélations accablantes, pointe du doigt le mode de gestion de l’ISDR, l’ISP et l’ISTM KIBOMBO.
« En effet, ces institutions sont entrain d’être exposées à une sanction de la hiérarchie, à savoir leur FERMETURE, du fait soit du système instauré par la présence ou permanence de l’unique et le seul membre du comité de gestion, le Directeur Général et ce, depuis trois ans, réalité due à l’abandon de poste par le deux Secrétaires Généraux (pour l’ISTM Kibombo), bien que le DG de l’ISTM KIBOMBO n’ait parlé au ministère de tutelle que du SGAC; » peut-on lire dans cette correspondance en ce qui concerne l’ISTM Kibombo.
Pour l’ISP Kibombo également pointé du doigts, la structure citoyenne dénonce le fait qu’il y a un long moment, le Directeur général de l’ISP entretien une « confusion, depuis 4 ans, autour de la pérennisation d’un vide au Secrétariat Général Académique, option qui l’a permis de gérer cette grande institution sans ce service clé pendant au moins sept ans (concerne l’ISP KIBOMBO) » dénonce la Société Civile en ce qui concerne la gestion de l’ISP KIBOMBO.
A l’ISDR KIBOMBO, la Société civile constate « un grand mal qui tend à mettre fin au développement ou émergence de l’ISDR , dont l’indifférence du DG à la demande l’élagage des faussaires formulée depuis trois ans par le SGAD (parlant de l’ISDR KIBOMBO » peut-on lire dans cette correspondance.
La société civile de Kibombo dit déplorer plusieurs conséquences à la suite de la situation observée à la tête de ce trois institutions. C’est pourquoi, « la communauté voudrait voir un réel comité de gestion apolitique et complet, moins conflictuel, qui favorisera la formation des bons enseignants » lit-on dans la correspondance.
Nous n’avons pas réussi à joindre jusqu’ici les trois Directeurs Incriminés par la société civile.
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